DOSSIER "LA GRANDE VALSE DES VACCINATIONS OU LE REGNE DES SAVANTS FOUS" du Dr Alain Scohy
La Guerre du Golfe, pendant l'hiver 1991 aurait dû nous servir
de leçon.
50.000 GI américains environ sont envoyés là-bas
et subissent au moins 4 vaccins, dont l'hépatite A, probablement
l'hépatite B, et d'autres plus rares (Botulisme et Charbon). Les
deux vaccins contre l'hépatite A et B sont préparés
par le génie génétique. Ils subissent certes sur place
une pollution importante. Mais rien n'a été signalé
parmi les autochtones à ce que je sache.
Ils ont pris un médicament dur, le bromure de pyridostigmine
(MESTINON). Mais peut-il à lui seul engendrer une teratogenèse
? Cela n'est pas mentionné dans le Vidal (aucune malformation notée
chez les enfants des femmes traitées pendant leur grossesse avec
ce médicament).
20.000 anciens soldats sont malades aujourd'hui. 2000 sont décédés.
Surtout, il y a eu en 3 ans 2000 naissances d'enfants gravement
anormaux : nanisme,
atrophie d'une moitié du corps, hydrocéphalie, mongolisme...
(Cf. ZONE INTERDITE / M6 - mai 1995)
Il en est sans doute de même pour le contingent français,
même si dans notre beau pays, la censure et l'autocensure dépassent
l'imaginable.
Autre petite anecdote "croustillante" :
D'après le
Journal of clinical microbiology
de juin 1994,
n°6, une équipe de chercheurs japonais du Centre de recherche
biomédicales de la Faculté de Tokyo a mis en évidence
la
présence de fragments d'ARN du virus de la peste
dans des vaccins
contre la rougeole, la rubéole et les oreillons (vaccins simples
et vaccins associés). Le plus étonnant et le plus inquiétant
aussi, c'est que ces chercheurs assurent que les vaccins ne pouvaient être
"contaminés". Les ARN
du virus de la peste seraient donc apparus par un
phénomène
de recombinaison
qui reste encore à expliquer. (D'après
l'IMPATIENT - Hors-Série n°11 - Juin 1996)
Les VACCINS à venir...
Conférence-Débat avec le Dr Guy Londechamp, le 10
février 1996 (près de Périgueux)
Le but n'est pas de faire peur mais de susciter un certain nombre de
questions. Il y a plus de questions que de réponses ! Nous aborderons
trois aspects :
Les expérimentations animales et les races transgéniques.
Les impacts probables des vaccins.
Les cristaux liquides.
1) Les expérimentations animales et les races transgéniques
Elles sont présentées comme une avancée très
importante de la science en biologie moléculaire;
Elles permettraient :
-d'un côté d'obtenir des produits humains à travers
des corps d'animaux,
-et de l'autre côté d'obtenir des tissus animaux à
greffer chez les humains, parce qu'on est en carence de donneurs.
D'autres choses vont en découler, en particulier concernant
l'avenir des techniques vaccinales.
Le problème des races transgéniques touche énormément
de races d'animaux : souris surtout beaucoup de variétés,
cobayes, lapins, porcs, veaux, chèvres... Distinguer les animaux
qui vivent dehors, et ceux qui ne vivent qu'en laboratoires. Certaines
espèces sont élevées dehors (veaux),
c'est là où les dangers sont les plus graves (contaminations
éventuelles)
Des races ont été "modifiées" de toutes pièces
pour pouvoir expérimenter sur elles des modèles de maladies
humaines chez des animaux qui n'étaient pas atteint auparavant.
C'est le cas du babouin et du macaque Pigtail, par exemple, pour le
SIDA... Ils vont devenir sensibles à ces maladies par sensibilisations
successives. Les babouins étaient porteurs de SIV :
(virus d'immuno déficience du singe), qui était une maladie
pratiquement inapparente chez eux.
On a créé récemment une sensibilité chez
les babouins, (Quotidien du Médecin, 28/10/1994),
pour qu'ils déclenchent un SIDA très proche de celui
de l'homme, très rapidement évolutif, en couplant génétiquement
un SIV avec un HIV : (virus d'immuno déficience humain)... Et on
a obtenu par passages successifs en fait, une infectiosité de plus
en plus rapide et des modèles de SIDA humain chez des singes qui
avant étaient indemmes de la maladie. C'est une porte ouverte,
à mon sens, très importante.
Sachant qu'en plus, beaucoup de virus du singe ont été
inoculés avec le vaccin anti-polio (SV 40,
STLV3). Il y a des virus proches qui sont présents maintenant
chez les humains, parce qu'il y a des passages, comme la fièvre
d'Ebola, fièvre hémorragique qui touche les singes et les
faits mourrir très rapidement, mais qui touche également
les hommes. On se demande si ce virus EBOLA ne serait pas un agent de contagion
par voie aérienne (Lancet : 03/12/95 / Vol 346 / p. 1669-1671).
Il faut imaginer l'avenir de virus aussi contagieux que le virus EBOLA,
qui aient la gravité sur le système immunitaire du virus
"VIH". En admettant qu'il y ait des échanges de patrimoine génétique
entre les virus, on pourrait aboutir à un virus transmissible directement
de l'animal à l'homme, et qui ne soit plus transmissible uniquement
par le sang ou par le sexe, mais par voie aérienne. Donc extrêmement
rapide, contagieux, et provoquant une atteinte très profonde et
très rapide du système immunitaire.
LE PORC. C'est l'animal le plus proche de l'homme au plan antigénique
(au point qu'on a pu utiliser l'insuline de porc pour l'injecter à
des humains). On travaille beaucoup avec les porcs pour injecter chez eux
des gènes du complément humain. On les sensibilise pour les
rendre capables de ne s'immuniser contre les tissus humains en leur injectant
des gènes du complément. On leur
demande ensuite de fournir des tissus pour les transmettre à
des humains en tant que greffes.
Ces humains subiront ensuite une dépression immunitaire pour
pouvoir tolérer ces tissus du porc,
et qu'il n'y ait pas de réactions du complément de rejet.
C'est encore une brèche dans le sens
homme/porc pour que l'homme puisse tolérer les tissus du porc,
pour qu'il n'y ait plus de réactions antigéniques croisées
avec les protéines du porc, ou du porc par rapport à l'humain.
Cela veut dire deux choses. D'une part, chez les populations animales,
il va quand même y avoir
des modifications très importantes, peut-être de comportement,
pas seulement immunitaires. Peut-être aussi psychiques ? Et dans
l'autre sens, chez l'homme, il peut y avoir non seulement des modifications
immunitaires mais aussi au niveau comportemental. Sachant qu'il peut y
avoir ensuite des échanges de patrimoines génétiques
entre les virus et entre les microbes, dans ces races animales, la brèche
est ouverte vers l'humain pour que ça passe directement, pour qu'il
n'y ait pas de réaction particulière de l'homme s'il y a
des échanges directs, avec une sorte de neutralisation immunitaire
ou tolérance.
S'il y a tolérance immunitaire il n'y aura peut-être pas
de vagues ? Mais si l'on aboutit à cette tolérance de tissus
étrangers, c'est-à-dire à une acceptation, une absence
de conflit, cela permettra progressivement d'utiliser du tissu étranger
(pour des greffes) sans qu'il perturbe le système immunitaire, sans
qu'il y ait de
réaction d'identité
. Est-ce que
cela ne veut pas dire qu'il y aura alors perte complète de l'identité
? Quel avenir dans ce cas pour le système immunitaire ? Et pour
l'identité spirituelle ?
On utilise déjà des protéines venant des animaux
transgéniques. Par exemple l'érythropoïétine.
Et ce, grâce à des veaux transgéniques qui synthétisent
de l'érythropoïétine humaine (Quotidien du Médecin
/ 23/12/93 et 03/03/94) qu'on injecte donc chez les insuffisants rénaux
en dialyse. Est-il légitime de penser qu'une érythropoïétine
synthétisée même avec des gènes humains dans
un corps animal est structurellement identique à l'érythropoïétine
humaine dans un corps humain ?
Est-ce qu'on peut faire passer la molécule d'un champ de forme
animal vers un champ de forme humain et considérer qu'il s'agit
d'une molécule identique ? Avec les mêmes effets biologiques
?
On a beaucoup parlé d'organisation spatiale et d'efficacité
en fonction de cette organisation spatiale. est-ce qu'on peut garantir
que ces protéines étrangères ne sont pas accompagnées
d'autres protéines ou ne sont pas capables elles-même de provoquer
des chocs protéiques comme les prions ? (Cf les prions et la maladie
des vaches folles)
Pourtant, cette érythropoïétine est déjà
dans le domaine de la commercialisation banale ou presque.
Peut-on se satisfaire d'une protéine semblable, ou faut-il qu'elle
soit identique ? A-t-on le droit d'utiliser des substances animales synthétisées
à partir de gènes humains greffés chez les animaux
en disant qu'elles sont identiques ? Comme l'érythropoïétine
élaborée chez l'animal à partir des gènes humains
? Est-ce scientifiquement recevable ?
Le risque est en fait qu'il y ait une confusion immunitaire profonde.
Si le système immunitaire ne sait plus reconnaître ce qui
est semblable et ce qui est identique, il peut littéralement devenir
"fou"
ou bien abréactif. C'est-à-dire entrer dans un système
d'auto-destruction immédiate, ou bien être dans un système
de tolérance par rapport à tout ce qui est étranger,
en acceptant tout élément étranger sans faire de différence,
et en restant dans le semblable mais plus dans l'identique. Cela implique
une atteinte profonde de l'identité.
S'il y a réaction, ce sera forcément un mécanisme
d'apoptose (mort cellulaire par activation d'un gène spécial
de découpage de l'ADN) ou auto-immun...A savoir un mécanisme
d'auto-destruction parce que le système immunitaire ne pourra plus
reconnaître ce qui est lui et ce qui n'est pas lui.
Il réagira
seulement a des fractions et non a une totalité
. Ce sont les
maladies auto-immunes, le SIDA, qui a une caractéristique auto-immune
très importante.
Il s'agit en fait de substances animales, déjà utilisées
dans le quotidien, qui sont à elles seules capables d'engendrer
une problématique immunitaire avec une tendance auto-immune.
Définitions : Semblable
:
il peut y avoir une portion
semblable, avec un site de reconnaissance qui contient une séquence
semblable. Mais pas la totalité. Il y a des variantes. Un segment
stable reconnaissable comme étant immunogène, suscitant un
réflexe d'identité. Si ce secteur est semblable, il n'y a
pas de réaction. Mais il y a tout de même toute une partie
qui accompagne qui n'est pas identique. La reconnaissance ici n'est que
partielle.
Identique :
Semblable en tous points.
Le problème est que la reconnaissance se fait sur certaines cibles, non sur la totalité. Les systèmes protéiques peuvent être plus ou moins fins. Et les systèmes immunitaires peuvent être très performants (avec un réflexe d'éjection très rapide), ou bien assez tolérants.
La gravité pour le singe, c'est qu'on peut obtenir à travers
les échanges triangulaires porc-singe-homme (parce qu'on a fait
passer des gènes du singe chez le porc, et du porc chez le singe
: on a essayé de faire des échanges pour voir ce qui se passait,
avant d'essayer cela avec l'homme), et on a greffé récemment
de la moelle de babouin chez un homme, aux USA, pour essayer de combattre
un Sida. Cela veut dire que tout est en place pour qu'il y ait des échanges
génétiques de virus avec des tolérances immunitaires
entre le singe, le porc et l'homme.
Déjà sur le plan pratique, il est possible qu'il y ait
des mutations virales. Comme un croisement de virus entre eux, par exemple
un virus simiesque + un virus grippal, le virus résultant du croisement
pouvant alors adopter un mode de transmission aérienne, pas
seulement par voie sanguine.
Avec la même variabilité et la même contagiosité
que le virus de la grippe, et le même impact sur le système
immunitaire que le "virus du SIDA". Ces conditions là sont quasiment
réunies actuellement.
Qu'est-ce qu'un virus-micro-organisme ?
Une entité intelligente, avec la capacité d'avoir un
plan, et de le mettre en pratique ?
Ou bien, ce qui est plus probable, n'est-ce qu'un programme et une
vibration, c'est-à-dire une
information. Quel est le rôle de cette information ? On ne peut
affirmer que les virus viennent effectivement d'une contamination extérieure.
Il se peut tout à fait que ce soit nous-même qui créions
ce virus = émission d'une fraction d'ADN, sortant du noyau cellulaire,
et traduisant une information destinée à l'ensemble de l'organisme.
Un certain nombre de virus fonctionnent comme cela, ressemblant alors à
des "gènes sauteurs".
Si cela est vrai, sur le plan pratique, quand on est confronté
à des infections virales de ce type,
que traiter ? Pourquoi ? Avons-nous à traiter ? Et comment doit-on
traiter l'information ?
Est-ce que la tactique virale ne serait pas un programme extrêmement
intelligent mettant en difficulté notre identité elle-même
? Le système immunitaire étant quelque chose d'extrêmement
complexe. La maladie serait la résultante de cette information
virale que notre système immunitaire n'arrive pas à résoudre.
Problématique : quel est le sens, quel est le message derrière?
Dr Jacqueline BOUSQUET (Docteur ès Sciences, spécialisée
en biologie et immunologie) :
Ce sens est clair... Il s'agirait d'une dégénérescence
de la cellule, sur le plan vibratoire. Elle ne
peut plus contrôler certains éléments comme les
mitochondries qu'elle a phagocytés (Cf théories
de Béchamp = microzymas / Gaston Naessens = Somatides / Institut
Pasteur récemment = Mycoplasmes. Ces entités sous-cellulaires
vivantes et autonomes seraient la base de la vie, les éléments
constitutifs de la cellule. Les mitochondries, par exemple, seraient des
entités de ce type
phagocytées par la cellule, dans un but bien défini).
Lorsque le taux vibratoire de la cellule diminue, comme à un taux
correspond une forme, le contrôle de ces éléments "étrangers"
l'un à l'autre, mais constituants de la cellule, n'est plus possible.
A une vibration correspond une forme.
C'est de la physique. Si l'on change la forme, la vibration change.
Lorsque, à un moment donné,
par une quelconque déficience génétique par exemple,
la cellule ne peut plus contrôler les organites qui la constituent,
par une chute du taux vibratoire, ces organites reprennent leur vie
propre. Le système immunitaire est quelque part là-dedans.
Il ne peut pas se bagarrer contre ses propres constituants. Ce qui explique
son hésitation. Il ne sait plus quoi faire. La logique du signal,
c'est : "remonte ton taux vibratoire pour reprendre le contrôle des
événements !"
Si l'on supprimait tous les virus, nous marcherions sur des monceaux
de cadavres. Ce serait ce que l'on appelle le chaos, en biologie et en
physique, on est en train de le découvrir.
Avec de l'homéopathie simple, c'est-à-dire une information
qui n'est pas vraiment pondérable
au-delà d'une certaine dilution, on arrive à faire passer
des maladies infectieuses aiguës, virales ou non, d'une manière
très rapide, sans utiliser d'agents anti-infectieux ou de vaccin.
Ce qui prouve bien que ce n'est pas le germe lui-même qui est
important mais le système d'ordre.
Il n'est donc pas nécessaire de combattre un agent infectieux
viral ou bactérien, mais de comprendre la dynamique perturbée.
Dr Alain SCOHY :
C'est le cas tout particulièrement pour le SIDA. Cela explique
bien les guérisons spectaculaires
sitôt que les patients reprennent en main leur vie, quittent
la peur, modifient leur hygiène générale,
alimentaire par exemple.
Dr Guy Londechamp :
Si donc les virus ou microbes sont des informations, l'utilisation
d'un antibiotique pour une situation banale est une aberration. Restent
la question de l'urgence évidente et de la réanimation
où cette utilisation sera légitime.
On est dans une situation qui nous amène à une compréhension différente du terrain, et entraîne un changement d'attitude. Si on applique ce changement d'attitude, on peut se retrouver avec une interdiction d'exercice, surtout si les patients vont bien.
On peut donc considérer qu'une infection virale est un vecteur
de changement d'ADN, un vecteur
de mutation de l'individu qui peut donner :
si cela ne marche pas bien un lymphome, un cancer, un phénomène
auto-immun, une mort cellulaire, si cela marche un changement structurel,
touchant aussi bien le corps que l'esprit.
ABSENCE DE CONTRÔLE.
L'état du système IMMUNITAIRE n'est pas vérifié
avant et après vaccination. Malgré les incitations depuis
des années à contre-indiquer les vaccinations (à virus
vivants ou BCG) chez les séropositifs par exemple...
On pourrait rajouter le typage tissulaire qui permettrait presque à
coup sûr d'éliminer les sujets risquant de développer
une sclérose en plaques suite aux vaccinations virales ou par génie
génétique.
Les vaccinations n'ont rien à faire de l'efficacité.
Elles n'ont rien à voir avec une méthode scientifique. Personne
ne vient faire le point des désorganisations de la personne après
les vaccinations.
Toute cette tactique vaccinale devient totalement aberrante face aux
travaux de Béchamp, Tissot et Naessens. A signaler des articles
d'un professeur d'université canadienne qui s'appelle SONEA, qui
parle du téléphone cellulaire et du monde microbien en tant
qu'entité et en tant qu'unité, et qui dit la même chose,
à savoir que les virus sont présents dans les bactéries
à l'état de prophages et ne sont que des informations libérées
par les bactéries quant elles font le téléphone cellulaire.
Là aussi, c'est un responsable d'un secteur de biologie à
l'université de Montréal, et il dit ouvertement : "Si on
dérègle le monde bactérien par notre intervention,
cela peut aller jusqu'à compromettre la vie sur terre".
Cf S. SONEA et M. PANISSET : "Introduction à la nouvelle bactériologie"/
Presses de l'Université de Montréal / Montréal 1980.
2) LES CRISTAUX LIQUIDES.
Il faut savoir que les techniques de l'an 2000 s'orientent vers l'injection
d'ADN nu... C'est-à-dire
les séquences d'ADN répétitives, en boucles, qui
sont les supports d'informations sur lesquels on va greffer, en couronne,
soit des séquences d'ADN viral, soit des gènes codants pour
des protéines virales ou bactériennes. C'est-à-dire
essayer d'injecter de multiples informations sur un support ADN lui-même
informatif. L'ADN de base peut être un ADN synthétique.
Il faut savoir que 90 % de notre ADN apparemment ne sert "à rien"
(= pas pour la synthèse protéique). Il y a des séquences
itératives dont ont ignore l'utilité. S'agit-il de gènes
pour le futur,
favorisant l'évolution ? Ce sont sans doute des potentialités
d'évolution. Potentiel énorme.
D'énormes parties de nos noyaux cellulaires n'ont pas une fonction
claire reliée à la forme, à la structure. Leurs fonctions
sont sans doute reliées à l'organisation, à l'interaction
et à l'évolution.
On ne sait pas quoi en faire, car on ne peut pas les approcher par
la méthode de dissection ou sous l'angle de la méthode expérimentale.
Ces techniques d'injection d'ADN nu ont déjà commencé,
soit en IM (intramusculaire), soit en JET sur des billes d'or (pistolet
sous pression)... On observe une réponse aussi bien de l'immunité
cellulaire, les L.A.K. (cellules tueuses = lumphocytes activés /
lignées toxiques utilisées pour la lutte contre le cancer
ou les infections virales), que des immunoglobulines (anticorps).
La réponse est donc à la fois humorale et cellulaire,
ce qui apparaît très encourageant mais pose beaucoup de questions.
L'intégration de ce patrimoine génétique à
nos cellules se fait très rapidement, et on ne peut plus contrôler
ensuite les synthèses protéiques qui se font, puisqu'elles
sont intégrées à notre patrimoine. Il s'agit de substances
étrangères pouvant éventuellement avoir une interaction
entre elles. On envisage en effet de faire des vaccins hexa ou hepta-valents.
Le problème est de savoir si cette technique va mettre en jeu
la totalité de l'organisme et sa descendance, ou bien rester simplement
limitée à certaines cellules de l'organisme (en mosaïque).
Et dans quelle mesure, même dans cette dernière hypothèse
favorable, n'y aurait-t'il pas de modifications immunitaires par rapport
aux ADN inoculés, ou par rapport aux protéines antigéniques
fabriquées par nos propres cellules, soit précocement, soit
à la longue, et éventuellement transmissibles aux descendants
?
Il s'agit d'une information ADN, intégrée à notre
patrimoine, avec les gènes ou l'ADN complet,
sans la protéine d'enveloppe. Cette information est donnée
en INTRAMUSCULAIRE, et ne toucherait donc pas toutes les cellules à
la fois ? Est-ce que l'organisme est capable d'isoler ?
Sommes-nous véritablement capables de vérifier et maîtriser
complètement ces informations sur ces boucles d'ADN ? C'est-à-dire
de faire des ADN de synthèse et d'en connaître la programmation
possible.
N'est-ce pas l'installation d'une antenne à l'intérieur
de notre organisme, programmable de l'extérieur, malléable
?
Il faut savoir qu'il existe des recherches sur ce qu'on appelle les
cristaux liquides. L'ADN est un cristal liquide, modulable dans sa structure.
Il fonctionne comme un ordinateur. On se demande si les techniques actuellement
développées en médecine vétérinaire
pour l'identification animale
(injection sous-cutanée de TRANSPONDEURS = micro-ordinateurs
identiques à des cristaux liquides) ne seraient pas appliquées
aux humains ! Ces transpondeurs, à partir d'une influence extérieure
électromagnétique, permettraient d'agir à l'échelle
cellulaire, avec soit des émetteurs, soit des antennes télé,
soit des satellites. C'est-à-dire des techniques d'actions de masse
sur les gens, avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience
individuelle. Il y a des journalistes qui se posent très sérieusement
la question, notamment au Québec et aux USA.
C'est peut-être de la science fiction. A moins que la science fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité.
Il existe en effet une multinationale, la TEXAS INSTRUMENTS, qui met au point les transpondeurs injectés chez les animaux qui servent actuellement à l'identification animale sur la planète entière. Des millions et des millions de transpondeurs sont déjà en place. On peut y coder toutes les caractéristiques génétiques de l'animal, ainsi que d'autres informations dont on pourrait avoir besoin, comme ses vaccinations, les aliments ingérés, ect...
Les journalistes québécois ont mis en parallèle l'utilisation des transpondeurs et ces recherches et travaux sur les cristaux liquides...
D'autant plus qu'on a poussé tout le monde à se faire
vacciner contre la méningite, alors qu'il ne s'agissait pas d'un
problème de première importance, et qu'on a usé là-bas
d'un protocole spécial.
On a demandé à toutes les équipes pratiquant les
vaccinations de remplir un questionnaire très précis où
l'on retrouve une liste d'une vingtaine de complications possible. Ce vaccin
est pourtant présenté comme anodin chez nous. Mais chez eux,
il y aurait des tas de complications possibles,
d'où les cases du questionnaire à remplir et en particulier
en ce qui concerne :
les chocs, collapus... Il était prévu à proximité
tout le nécessaire pour une éventuelle réanimation...
et les maladies démyélinisantes.
S'il s'agit d'une vaccination si anodine, pourquoi a-t'on demandé
à ces centres d'avoir des conditions si rigoureuses, et ces mesures
de sécurité et d'observation exceptionnelles ?
Il faut signaler par ailleurs qu'on a vacciné de force contre
l'hépatite
B
des populations entières au Nord du Canada, sans explication,
sans même l'autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre
de morts parmi les enfants, mais on n'a fourni aucune explication. Viols
délibérés de la liberté individuelle, atteintes
corporelles avec des décès, mais aucun justificatif des besoins,
ni explications.
Pourquoi insiste-t-on tant sur cette vaccination qui ne paraît
pas être un problème de santé publique a côté
de celui du cancer, de la malnutrition...?
Surtout quand on sait que 90 % des malades de l'Hepatite B guérissent
spontanément en quelques semaines, que les complications touchant
les 10 % restants se feront sentir sur 10 à 30 ans (hépatite
chronique et cancer du foie) sans qu'on puisse éliminer d'autres
facteurs dans la responsabilité de la maladie.
Et qu'enfin les Africains disposent d'une plante (le Desmodium ascendens)
qui soigne très rapidement toutes les hépatites aigües,
virales ou toxiques, sans aucune toxicité !!!...
(plante disponible en France par ailleurs).
De tout cela résulte la dernière question : N'est-on pas en train d'injecter aux gens, avec le vaccin Hépatite B, non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d'autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d'ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l'extérieur à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place.
Le Dr Jacqueline BOUSQUET intervient ici pour nous rappeler que le mécanisme
de la mitose
cellulaire humaine fonctionne grâce au centriole cellulaire qui
est analogue aux cristaux liquides.
En définitive, le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences ? Et il est bien difficile de savoir exactement ce qu'il y a dans ces vaccins...